Le projet s’est construit autour de rapprochements entre des pièces sélectionnées dans les collections Barbier-Mueller et des œuvres que Jacques Kaufmann a réalisées dans son atelier et dans le monde, sur des temps longs, tentant d’en cerner les points de rencontre comme les écarts. Le regardeur faisant le tableau, cette exposition met en lien des œuvres d’origines, de temporalités, de matérialités diverses, de sorte que le visiteur recrée pour lui-même ses propres correspondances, enrichissant les résonances proposées.