Après le succès de Plateau Libre en 2022, la Troupe des Trois P'tits Tours repousse à nouveau ses limites et retrouve Mena Avolio (Compagnie ÔBains, Marie-Thérèse Porchet, La Revue de Genève) pour une nouvelle création de danse contemporaine-théâtre.
« Nous voilà repartis pour une nouvelle aventure ! Après le succès de « Plateau Libre », nous avons décidé de pousser nos limites encore plus loin. Un défi de taille pour des non-danseurs, ça nous a mis une sacrée pression ! Peu importe, on allait explorer de nouvelles possibilités, oublier les courbatures, danser avec les mots, jouer avec les obstacles. Nous sommes déterminés à persévérer, à travailler ensemble pour créer quelque chose de nouveau, de différent avec audace et conviction. » Mena Avolio
"Voilà. C’est là que tout s’arrête. Même si ce n’est pas du tout comme ça que je voyais les choses. Aujourd’hui, j’ai compris que quelque chose m’empêchait avant tout de me voir moi, tel que j’étais vraiment. Je me vois
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Après le succès de Plateau Libre en 2022, la Troupe des Trois P'tits Tours repousse à nouveau ses limites et retrouve Mena Avolio (Compagnie ÔBains, Marie-Thérèse Porchet, La Revue de Genève) pour une nouvelle création de danse contemporaine-théâtre.
« Nous voilà repartis pour une nouvelle aventure ! Après le succès de « Plateau Libre », nous avons décidé de pousser nos limites encore plus loin. Un défi de taille pour des non-danseurs, ça nous a mis une sacrée pression ! Peu importe, on allait explorer de nouvelles possibilités, oublier les courbatures, danser avec les mots, jouer avec les obstacles. Nous sommes déterminés à persévérer, à travailler ensemble pour créer quelque chose de nouveau, de différent avec audace et conviction. » Mena Avolio
"Voilà. C’est là que tout s’arrête. Même si ce n’est pas du tout comme ça que je voyais les choses. Aujourd’hui, j’ai compris que quelque chose m’empêchait avant tout de me voir moi, tel que j’étais vraiment. Je me vois bien plus beau que je ne le suis réellement, meilleur que tout le monde, rationnel jusque dans mes moindres désirs, capable d’échapper au jeu des attirances ordinaires, d’être séduit, à l’inverse de tout le monde, par ce qui n’est pas beau. C’est parce que je veux absolument correspondre à cette image de « moi idéal » que j’en viens à transformer, sans m’en rendre compte, la réalité autour de moi. Comme un besoin de s’illusionner, de fabriquer tout un décor autour de moi et ainsi, entretenir en moi cette image d’un être exceptionnel, à part, que je voudrais être…" Joël Pommerat
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