Level Up est une version condensée de la création Dub, concentrant l’énergie et la diversité des danses imaginées par Amala Dianor. Une communauté de danseurs venus du monde entier se rassemble sur scène. Chacun son style, sa langue, son histoire. Tous portés par une même pulsion de vie. Avec Level Up, le chorégraphe franco-sénégalais Amala Dianor orchestre une fête de gestes, de rythmes et de corps. Les danses urbaines s’y mêlent sans se fondre : waacking, krump, house, pantsula ou électro s’enchaînent et s’interpellent. Ce sont des danses nées dans les clubs, les squats ou les toits d’immeubles, réinventées ici dans un espace scénique où se superposent des scènes de vie. Amala Dianor réaffirme ce qui est au cœur de sa démarche : la rencontre. Dans une mise en scène structurée comme une fresque mouvante, les styles circulent, les corps s’élèvent, et le plaisir de danser devient collectif. Sur les beats d’Awir Leon, les individualités brillent autant que le groupe. Une danse à la fois joyeuse et précise, qui donne à voir la vitalité des danses urbaines aujourd’hui.
En première partie de Level Up, le chorégraphe poursuit son exploration des langages croisés dans un fabuleux « face-à-face ». Deux femmes, deux danses, deux univers. Marion Alzieu vient du contemporain,
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Level Up est une version condensée de la création Dub, concentrant l’énergie et la diversité des danses imaginées par Amala Dianor. Une communauté de danseurs venus du monde entier se rassemble sur scène. Chacun son style, sa langue, son histoire. Tous portés par une même pulsion de vie. Avec Level Up, le chorégraphe franco-sénégalais Amala Dianor orchestre une fête de gestes, de rythmes et de corps. Les danses urbaines s’y mêlent sans se fondre : waacking, krump, house, pantsula ou électro s’enchaînent et s’interpellent. Ce sont des danses nées dans les clubs, les squats ou les toits d’immeubles, réinventées ici dans un espace scénique où se superposent des scènes de vie. Amala Dianor réaffirme ce qui est au cœur de sa démarche : la rencontre. Dans une mise en scène structurée comme une fresque mouvante, les styles circulent, les corps s’élèvent, et le plaisir de danser devient collectif. Sur les beats d’Awir Leon, les individualités brillent autant que le groupe. Une danse à la fois joyeuse et précise, qui donne à voir la vitalité des danses urbaines aujourd’hui.
En première partie de Level Up, le chorégraphe poursuit son exploration des langages croisés dans un fabuleux « face-à-face ». Deux femmes, deux danses, deux univers. Marion Alzieu vient du contemporain, Mwendwa Marchand du dancehall. L’une est tendue, l’autre ondule. Amala Dianor orchestre leur rencontre dans un duo d’écoute, de respect et de défi. Pas de narration, mais un dialogue de corps et de rythmes.
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