L'OSR interprète Beethoven, Ravel et Strauss sous la direction de Karina Canellakis, le 3 décembre 2025 au Victoria Hall, à Genève dans le cadre de la saison 2025-2026.
Le Programme :
Karina Canellakis direction
Alice Sara Ott piano
Ludwig van Beethoven
Symphonie N° 2 en ré majeur op. 36
Entracte
Maurice Ravel
Concerto pour la main gauche en ré majeur
Richard Strauss
Tod und Verklärung, poème symphonique op. 24
Avec sa Symphonie N° 2 en ré majeur, Beethoven salue en quelque sorte la naissance du XIXe siècle avec éclat, prenant congé de son maître Haydn tout en en retenant la leçon. Traitée de « monstre mal dégrossi » par une critique dépassée, elle ouvre un monde sonore nouveau qui nous secoue encore.
Avec le Concerto pour la main gauche, ce grand admirateur de Richard Strauss qu’était Maurice Ravel laisse un diamant noir fortement expressionniste, assorti d’un incroyable tour de force. En fermant les yeux, vous aurez l’impression d’entendre les dix doigts du pianiste et même plus !
La puissance de l’orchestre straussien éclate dans Tod und Verklärung (Mort et Transfiguration), un poème symphonique né dans l’imagination exaltée d’un génial compositeur de 24 ans sans aucune référence personnelle ni littéraire avec « la seule l’envie d’écrire un morceau qui
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L'OSR interprète Beethoven, Ravel et Strauss sous la direction de Karina Canellakis, le 3 décembre 2025 au Victoria Hall, à Genève dans le cadre de la saison 2025-2026.
Le Programme :
Karina Canellakis direction
Alice Sara Ott piano
Ludwig van Beethoven
Symphonie N° 2 en ré majeur op. 36
Entracte
Maurice Ravel
Concerto pour la main gauche en ré majeur
Richard Strauss
Tod und Verklärung, poème symphonique op. 24
Avec sa Symphonie N° 2 en ré majeur, Beethoven salue en quelque sorte la naissance du XIXe siècle avec éclat, prenant congé de son maître Haydn tout en en retenant la leçon. Traitée de « monstre mal dégrossi » par une critique dépassée, elle ouvre un monde sonore nouveau qui nous secoue encore.
Avec le Concerto pour la main gauche, ce grand admirateur de Richard Strauss qu’était Maurice Ravel laisse un diamant noir fortement expressionniste, assorti d’un incroyable tour de force. En fermant les yeux, vous aurez l’impression d’entendre les dix doigts du pianiste et même plus !
La puissance de l’orchestre straussien éclate dans Tod und Verklärung (Mort et Transfiguration), un poème symphonique né dans l’imagination exaltée d’un génial compositeur de 24 ans sans aucune référence personnelle ni littéraire avec « la seule l’envie d’écrire un morceau qui commence en ut mineur pour s’achever en ut majeur » dira-t-il plus tard sous forme de boutade.
Durée totale approximative de 1h40 (comprenant un entracte de 20 min.)
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