« J’habite ici ! »
Venez rire jaune avec nous !
- Pauline, juste une question, depuis combien de temps tu ne m'as pas serré dans tes bras ?
- Il faudrait pour ça que j'aie la sensation d'exister juste un petit peu plus que les rideaux de la cuisine…
Jean-Michel Ribes revient à Cheseaux avec sa toute dernière pièce créée il y a deux ans à peine à Paris. Qui a oublié la mythique série télévisée « Palace », ou son « Théâtre sans animaux » que la Compagnie Des Deux Masques avait présenté… il y a vingt ans ? À 75 ans passés, le féroce farceur n’a rien perdu de sa verve, de son génie caustique. Plus encore, avec « J’habite ici ! », il atteint des sommets dans l’absurde et l’hilarant, les poussant même par moments jusqu’à l’outrance. Au rire jaune, si l’expression veut encore dire quelque-chose. Que dire de plus, si ce n’est que cet observateur aiguisé de nos travers et de nos lâchetés en est peut-être venu à livrer ici son ultime opus !
Nous sommes aujourd’hui, dans un immeuble comme le vôtre, dans une ville comme la vôtre, ou juste à côté. Il y a la concierge et la critique culturelle, le plombier et les aristos du 4ème. Le poète et le policier. Le comédien raté et le militaire trop réussi ! Les jeunes amants impossibles… Tout un petit monde qui entre en collision avec les
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« J’habite ici ! »
Venez rire jaune avec nous !
- Pauline, juste une question, depuis combien de temps tu ne m'as pas serré dans tes bras ?
- Il faudrait pour ça que j'aie la sensation d'exister juste un petit peu plus que les rideaux de la cuisine…
Jean-Michel Ribes revient à Cheseaux avec sa toute dernière pièce créée il y a deux ans à peine à Paris. Qui a oublié la mythique série télévisée « Palace », ou son « Théâtre sans animaux » que la Compagnie Des Deux Masques avait présenté… il y a vingt ans ? À 75 ans passés, le féroce farceur n’a rien perdu de sa verve, de son génie caustique. Plus encore, avec « J’habite ici ! », il atteint des sommets dans l’absurde et l’hilarant, les poussant même par moments jusqu’à l’outrance. Au rire jaune, si l’expression veut encore dire quelque-chose. Que dire de plus, si ce n’est que cet observateur aiguisé de nos travers et de nos lâchetés en est peut-être venu à livrer ici son ultime opus !
Nous sommes aujourd’hui, dans un immeuble comme le vôtre, dans une ville comme la vôtre, ou juste à côté. Il y a la concierge et la critique culturelle, le plombier et les aristos du 4ème. Le poète et le policier. Le comédien raté et le militaire trop réussi ! Les jeunes amants impossibles… Tout un petit monde qui entre en collision avec les préjugés du moment et la vie qui va.
Qu’il s’agisse de la vie érotique du ministère, de l’élection (si pas l’érection) d’un incompétent à la présidence, qu’il faille disserter sur les bienfaits de la côte de bœuf ou sur l’effet d’une mobylette arabe dans le rapport amoureux, Ribes ne recule devant rien.
« J’avance à tâtons, cherchant l’air frais à travers la broussaille des certitudes et le bordel des idées. Touché par la beauté des uns, blessé par la cruauté des autres, je continue, guidé par l’utopie et la vie qui continue, inexorablement. Que vous dire ? Sinon que tout cela finit par me faire rire, énormément rire. » Jean-Michel Ribes.
La Compagnie Des Deux Masques
présente
"J'habite ici !"
Comédie satirique de Jean-Michel Ribes (2021)
Mise en scène de Bernard Novet
Vendredi 26 et samedi 27 avril à 20h30
Dimanche 28 avril à 17h00
Jeudi 2, vendredi 3 et samedi 4 mai à 20h30
Grande salle de la Maison de Commune (collège du centre)
Portes à 19h (dimanche à 16h)
Bar et spaghetteria (sauf dimanche)
- Tout le monde connaît Proust, il est très populaire.
- Populaire ? Proust ?!
- Je te rappelle qu’il se prénomme Marcel, comme le pédicure de ta mère. Si c’est pas populaire !
- Peut-être mais on dit toujours Proust, jamais Marcel.
- Faux, archifaux !
- Ah oui ? Tu as déjà entendu parler de la petite madeleine de Marcel ?
Informations et réservations sur www.cddm.ch
Attention : contenu sensible !
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