Lorna Bornand propose une œuvre multiple où la contemplation de l'infiniment petit se fond dans la grandeur du macrocosme. L'invisible se révèle à travers des formes et des lignes qui incarnent à la fois la vie et sa trace vibrante et palpitante au cœur de la nature, nous invitant à prendre le temps de nous reconnecter à l'essentiel et d’écouter le souffle des pierres … Ses œuvres monochromes se déploient ici dans un ensemble où chaque pièce dialogue avec les autres, crée une résonance visuelle et émotionnelle avec le vivant et souligne l’importance de la contemplation et de la lenteur pour recueillir sa beauté.
Telle une méditation intime autour de la matière, du temps et des perceptions, Lorna dessine des ronds, répétitifs, hypnotiques, de la pointe de son crayon Rouge indien. Elle capte “l’émanation” des montagnes et la présence vibrante des plantes. Le crayon, tel un sismographe sensible, enregistre les subtiles frémissements et la musicalité inhérente au vivant. Comme une délicate tentative de saisir l'imperceptible, elle nous invite à un voyage en marge de la matière où le minéral et le végétal sont vus comme des interlocuteurs en dialogue constant avec leur environnement, nous encourageant à ralentir et à écouter le vent …
Des pièces en céramique accrochées aux murs
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Lorna Bornand propose une œuvre multiple où la contemplation de l'infiniment petit se fond dans la grandeur du macrocosme. L'invisible se révèle à travers des formes et des lignes qui incarnent à la fois la vie et sa trace vibrante et palpitante au cœur de la nature, nous invitant à prendre le temps de nous reconnecter à l'essentiel et d’écouter le souffle des pierres … Ses œuvres monochromes se déploient ici dans un ensemble où chaque pièce dialogue avec les autres, crée une résonance visuelle et émotionnelle avec le vivant et souligne l’importance de la contemplation et de la lenteur pour recueillir sa beauté.
Telle une méditation intime autour de la matière, du temps et des perceptions, Lorna dessine des ronds, répétitifs, hypnotiques, de la pointe de son crayon Rouge indien. Elle capte “l’émanation” des montagnes et la présence vibrante des plantes. Le crayon, tel un sismographe sensible, enregistre les subtiles frémissements et la musicalité inhérente au vivant. Comme une délicate tentative de saisir l'imperceptible, elle nous invite à un voyage en marge de la matière où le minéral et le végétal sont vus comme des interlocuteurs en dialogue constant avec leur environnement, nous encourageant à ralentir et à écouter le vent …
Des pièces en céramique accrochées aux murs agissent tels des talismans, dont la présence s'inscrit dans l'architecture comme un vœu d'accompagnement et de protection pour le lieu.
Vernissage le 5 septembre à 18h
L'exposition est ouverte dès le 6 septembre, le samedi de 11h à 16h et le jeudi et vendredi de 14h à 18h
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